Le bonheur, ça se prépare !
Le Bonheur, on peut l'espérer (ah, l'attente des lendemains qui chantent !), on peut le considérer comme un dû (et exiger, conséquemment, des autres -nos conjoints, nos enfants, pour ne citer qu'eux - qu'ils nous rendent heureux) ; ou encore on peut penser qu'il faut le mériter (on n'a rien sans rien).
Personnellement, j'adopte une autre croyance : je pense que pour bien vivre, il suffit de s'organiser !
Le bonheur en 6 étapes :
1. Fi des espoirs stériles !
Je cesse d'espérer (et donc d'attendre passivement) pour me mettre à construire. Ouf ! Déjà, je me sens mieux. En mettant la main à la pâte, je me réapproprie mon destin. Ces petits problèmes non traités dont j'espérais la résolution spontanée ont parfois engendré de vraies catastrophes puisque je leur laissais le temps de s'aggraver. Donc, je dis halte au déni et aux espoirs stériles ! Je mets les faits à plat, et je regarde comment je peux intervenir pour améliorer la situation.
2. Être honnête avec soi-même
Je vais donc me prendre par la main. Je vais devenir ma propre amie, mon propre mentor, et pour ce faire, il faudra que je sois honnête envers moi-même. Je vais m'observer avec bienveillance, mais sans complaisance. Je vais chercher à voir clair en moi, sans m'ériger en juge sévère et observer ce qui se passe dans ma vie : quelles sont les relations que j'entretiens, mon travail, mon attitude… Je prends quelques minutes par jour pour écrire mentalement (ou vraiment) ce petit témoignage. J'acquiers l'habitude du recul et d'une certaine neutralité bienveillante.
3. Quels sont les faits ?
Si je repense à mon quotidien, à la semaine, au mois, à l'année écoulés, je me demande : " Qu'est-ce qui m'a rendue malheureuse ? Heureuse ? Quand ? Ou ? Avec qui me suis-je sentie mal ? Bien ? Quelles sont mes possibilités et mes contraintes ? Est-ce que j'ai une marge de manœuvre ? " Si je sais exactement ce dont je dispose, ce qui fonctionne ou pas pour moi, je vais pouvoir faire des choix en toute connaissance de cause.
4. Changer de niveau
Einstein écrivait dans Le Prix de l'excellence : " Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu'il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau ". M'en inspirant, je réalise que si je continue à me battre encore et encore avec les mêmes armes intellectuelles, émotionnelles et comportementales contre un problème qui continue à me résister, c'est que j'ai besoin d'apprendre de nouveaux concepts, de nouvelles stratégies, de nouvelles ressources pour en venir à bout.
5. Réunir les ressources
De quoi aurais-je besoin pour être vraiment heureuse ? Comment vivre une vie qui me convienne et qui corresponde à l'idée que je me fais du " bien vivre " ? Je note dans un petit carnet les idées qui me viennent : une bonne santé, du temps pour apprendre et faire du sport, un travail qui me passionne, le sentiment de gagner ma vie de manière honorable et utile et des relations épanouissantes bien sûr ! Et bien d'autres choses encore… Je détaille autant que je veux, je ne me donne pas de limites.
6. Décider d'agir
Une fois que j'ai noté toutes ces idées, j'ai donc une kyrielle d'objectifs qui font envie. Je me demande alors comment, pour chacun d'entre eux, pour chaque élément à mettre en place, à modifier ou à éliminer, je peux engranger une première action. Je vise la petite réussite quotidienne (pas la montagne à gravir). De la sorte, je peux déjà m'engager dans la réalisation de ce que je sens bon pour moi… Chaque micro-pas que je fais me rapproche de mon objectif. Je sais déjà que le chemin sera de toute manière enrichissant en lui-même. Porter un désir en moi me rend plus optimiste et positive, j'apprends aussi à devenir sans cesse plus confiante… et plus responsable.
Alors, au lieu d'attendre le Père Noël, voilà peut-être pour vous de quoi rêver utile tout au long de ce mois de décembre !
Joyeuses fêtes,
Confluence Coaching, décembre 2010.
www.confluence-coaching.fr
www.coach4expat.com
www.coach4expat.biz
Le Bonheur, on peut l'espérer (ah, l'attente des lendemains qui chantent !), on peut le considérer comme un dû (et exiger, conséquemment, des autres -nos conjoints, nos enfants, pour ne citer qu'eux - qu'ils nous rendent heureux) ; ou encore on peut penser qu'il faut le mériter (on n'a rien sans rien).
Personnellement, j'adopte une autre croyance : je pense que pour bien vivre, il suffit de s'organiser !
Le bonheur en 6 étapes :
1. Fi des espoirs stériles !
Je cesse d'espérer (et donc d'attendre passivement) pour me mettre à construire. Ouf ! Déjà, je me sens mieux. En mettant la main à la pâte, je me réapproprie mon destin. Ces petits problèmes non traités dont j'espérais la résolution spontanée ont parfois engendré de vraies catastrophes puisque je leur laissais le temps de s'aggraver. Donc, je dis halte au déni et aux espoirs stériles ! Je mets les faits à plat, et je regarde comment je peux intervenir pour améliorer la situation.
2. Être honnête avec soi-même
Je vais donc me prendre par la main. Je vais devenir ma propre amie, mon propre mentor, et pour ce faire, il faudra que je sois honnête envers moi-même. Je vais m'observer avec bienveillance, mais sans complaisance. Je vais chercher à voir clair en moi, sans m'ériger en juge sévère et observer ce qui se passe dans ma vie : quelles sont les relations que j'entretiens, mon travail, mon attitude… Je prends quelques minutes par jour pour écrire mentalement (ou vraiment) ce petit témoignage. J'acquiers l'habitude du recul et d'une certaine neutralité bienveillante.
3. Quels sont les faits ?
Si je repense à mon quotidien, à la semaine, au mois, à l'année écoulés, je me demande : " Qu'est-ce qui m'a rendue malheureuse ? Heureuse ? Quand ? Ou ? Avec qui me suis-je sentie mal ? Bien ? Quelles sont mes possibilités et mes contraintes ? Est-ce que j'ai une marge de manœuvre ? " Si je sais exactement ce dont je dispose, ce qui fonctionne ou pas pour moi, je vais pouvoir faire des choix en toute connaissance de cause.
4. Changer de niveau
Einstein écrivait dans Le Prix de l'excellence : " Le monde que nous avons créé est le résultat de notre niveau de réflexion, mais les problèmes qu'il engendre ne sauraient être résolus à ce même niveau ". M'en inspirant, je réalise que si je continue à me battre encore et encore avec les mêmes armes intellectuelles, émotionnelles et comportementales contre un problème qui continue à me résister, c'est que j'ai besoin d'apprendre de nouveaux concepts, de nouvelles stratégies, de nouvelles ressources pour en venir à bout.
5. Réunir les ressources
De quoi aurais-je besoin pour être vraiment heureuse ? Comment vivre une vie qui me convienne et qui corresponde à l'idée que je me fais du " bien vivre " ? Je note dans un petit carnet les idées qui me viennent : une bonne santé, du temps pour apprendre et faire du sport, un travail qui me passionne, le sentiment de gagner ma vie de manière honorable et utile et des relations épanouissantes bien sûr ! Et bien d'autres choses encore… Je détaille autant que je veux, je ne me donne pas de limites.
6. Décider d'agir
Une fois que j'ai noté toutes ces idées, j'ai donc une kyrielle d'objectifs qui font envie. Je me demande alors comment, pour chacun d'entre eux, pour chaque élément à mettre en place, à modifier ou à éliminer, je peux engranger une première action. Je vise la petite réussite quotidienne (pas la montagne à gravir). De la sorte, je peux déjà m'engager dans la réalisation de ce que je sens bon pour moi… Chaque micro-pas que je fais me rapproche de mon objectif. Je sais déjà que le chemin sera de toute manière enrichissant en lui-même. Porter un désir en moi me rend plus optimiste et positive, j'apprends aussi à devenir sans cesse plus confiante… et plus responsable.
Alors, au lieu d'attendre le Père Noël, voilà peut-être pour vous de quoi rêver utile tout au long de ce mois de décembre !
Joyeuses fêtes,
Confluence Coaching, décembre 2010.
www.confluence-coaching.fr
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